″Moi moche et méchant″ inaugure une collaboration inédite entre une major américaine (Universal) et un studio de création parisien 'Mac Guff). Immense succès aux Etats-Unis, le film offre une vitrine et une reconnaissance méritée à l'animation made in France.

Réalisateur américain exilé en France, Mark Osborne a porté « Le Petit Prince » vers des sommets de poésie et d'émotion. Cinéaste français happé par les Américains, Pierre Coffin a fabriqué « Les Minions » à Paris avec pour références Sempé et Gotlib. Qu'elle soit totalement partie prenante ou actrice majeure, la France serait-elle la rampe de lancement des futurs grands auteurs de l'animation ?

Le plus grand festival international du film d'animation fête à Annecy, en ce mois de juin 2010, son cinquantième anniversaire. Occasion pour Positif de revenir, avec Michel Roudevitch, témoin des premières projections savoyardes, sur les débuts de ce rendez-vous majeur, dont nous rendons compte chaque année.

Après l'Espagne en 2015, avant la Chine en 2017, c'est l'animation française qui fut célébrée durant les festivités anneciennes du 13 au 19 juin 2016.

Il y a huit ans, "Kirikou" triomphait en salle, provoquant un électrochoc dans le monde de l'animation. La sortie du nouveau film de Michel Ocelot, "Azur et Asmar", démontre que c'est une révolution.

« Minuscule », « Jack et la mécanique du coeur », « Tante Hilda » sont les derniers enfants d'un cinéma d'animation français qui regorge de talents. Le monde entier se les arrache, ces films rivalisent avec les blockbusters. Mais pourquoi ça marche ?