Actrice. A l'affiche de L'Immortel aux côtés de Jean Reno et sur les planches dans Une maison de poupée d'Henrik Ibsen, elle parle des inégalités qui persistent entre hommes et femmes, du No Sarkozy Day et de Maïwenn.

En deux ans, Marina Foïs a sauté d'un film de Maïwenn à une comédie sur un cocker, d'une voix dans Madagascar à une pièce d'Ibsen, sans oublier la tête qu'elle a passée dans un premier film. Formidable interprète parce qu'elle n'a « rien de spécial à dire, sinon j'écrirais », l'actrice, à l'affiche dans « Papa ou maman », nous commente sa filmo non exhaustive.

Pétulante et rigolote à ses débuts, celle que l'on imagine être une ″bonne copine″ ne nous fait plus seulement rire. A l'écran, Marina Foïs incarne une femme infidèle qui s'ennuie aux côtés de Romain Duris. Dans ces pages, elle nous dévoile ses doutes et son côté obscur.

Olivia Bonamy, Amira Casar et Marina Foïs jouent, chantent et dansent avec grâce et folie dans "Filles perdues, cheveux gras", la délirante fantaisie musicale de Claude Duty.

Marina Foïs nous a bouleversé dans "Darling", de Christine Carrière. Elle répond aux questions de quatre lecteurs.

Fondé en 1994 par Jeffrey Katzenberg, David Geffen et Steven Spielberg, le studio rival de Disney a réussi à créer un univers de comédie qui tient d'abord à son impeccable casting vocal. Aux Etats-Unis, Will Ferrell, Ben Stiller, Chris Rock ou Brad Pitt. En France, Alain Chabat, Manu Payet, Kad Merad, Marie Gillain ou Eric Judor. Pour les 20 ans de DreamWorks, ces derniers nous racontent leur expérience.