Dans cette nouvelle rubrique, "Arkéo" part sur les traces d'un objet oublié, dont on ne se sert plus aujourdhui mais que les archéologues trouvent souvent sur les chantiers de fouille : l'amphore. Ce récipient conçu pour le transport de différents aliments a été utilisé tout au long de l'Antiquité !

N'en déplaise à Miss'Taupe, les animaux fouisseurs, les lombrics, les insectes et les racines de plantes mènent la vie dure aux archéologues ! Ils déplacent les vestiges, chamboulent les couches géologiques ou mangent les ossements...

Le pollen, ça vous dit quelque chose ? Les abeilles et les allergies, vous vous rappelez ! Eh bien figurez-vous qu'il intéresse aussi les archéologues, et plus particulièrement le palynologue ! Cet expert des arbres, des plantes et du paysage, le traque sur tous les chantiers de fouilles avant de le ramener au laboratoire... pour le faire parler !

Anthropophages, nos ancêtres ? Nombre de scientifiques en sont convaincus. Reste à comprendre les raisons de cette pratique.

De précieux membres polychromes et de délicates fresques figurant des architectures feintes : tels sont les trésors qu'a livrés en 1999 la découverte fortuite d'une villa romaine située sur le Janicule.

Comment les sociétés passées percevaient-elles les personnes handicapées physiques ? En analysant les sépultures et les squelettes, les archéologues commencent à esquisser une histoire inédite du comportement des communautés face au handicap, de l'Antiquité au Moyen Age.

Cinq tombes de Vikings - découverte exceptionnelle - ont été mises au jour dans le Nord-Ouest de l'Angleterre. Elles datent du début du Xe siècle et ont été utilisées par la première génération d'immigrants.

En dehors des sites de fouilles terrestres, les archéologues interviennent aussi sous l'eau. Les océans, les mers et les grands fleuves cachent de véritables trésors archéologiques, notamment sous la forme d'épaves de bateaux de toutes les époques. Pour réaliser des fouilles sous l'eau, l'archéologue doit se transformer en plongeur.