Colette Guillemard, spécialiste des questions de langue française, est notamment l'auteur de La Vie des enfants dans la France d'autrefois.

"Ne faire ni une ni deux", "se mettre sur son 31", cet ouvrage définit et explicite bien des expressions renfermant des nombres.

Plus qu’un dictionnaire, une promenade facile et intelligente dans la langue française, celle qui se cause, évidemment plus pittoresque, plus inattendue, et donc plus libre que celle qui se parle (entendez : celle qu’on doit parler). Pour débuter mais aussi pour aller plus loin. Dans le français qui « vit sa vie ». Un outil de travail indispensable afin de comprendre, décoder et assimiler les principaux mots du français qui se cause Plus de 1 000 mots et expressions essentiels pour « causer libre ».

Une grammaire claire, vivante et pédagogique qui présente par order alphabétique chaque difficulté de prononciation, d'orthographe, de vocabulaire ou de syntaxe. Toutes les variations de la langue sont prises en considération, de même que les particularités de la langue française en France et hors de France. Tout public. (Livres hebdo : livres du mois, 12, 2000)

Ce dictionnaire fait le point sur les divers procédés de formation lexicale mis en oeuvre dans cette variété de français, en offrant au lecteur des formes multiples de ce parler interethnique. Il est riche d'environ 1.000 entrées dont 100 expressions et mots nouveaux.

X. Renard nous donne une somme d'informations sur de multiples notions mises en place dans notre langue par la longue histoire du christianisme. Ces mots et expréssions, érudits ou appartenant au français populaire, concernent surtout la religion catholique.

Ce petit livre est né d'un exercice qu'on ne saurait trop recommander à ses amis, parce qu'il est à la fois plaisant et enrichissant. Il s'agit simplement de passer au crible les centaines de milliers de mots que nous offrent, dans le superbe désordre alphabétique, tous les dictionnaires français disponibles. On note ceux qui paraissent intéressants par quelque côté, leur étrangeté, leur drôlerie, leur beauté, la dérive aberrante de leur usage, etc. Ce livre peut être refait par chacun, et il sera à chaque fois différent. Mais toujours son auteur y gagnera quelque chose, car ce modeste exercice s'apparente d'une certaine façon à un examen de conscience. Le souci de connaître le «mot propre» et d'en user à bon escient est une forme de probité. M. T.