Réflexion sur la loi Macron, dite loi "pour la croissance, l'activité, et l'égalité des chances économiques", préparée par le ministre de l'économie Emmanuel Macron et imposée par la force via le recours à l'article 49-3 (disposition constitutionnelle permettant l'adoption d'un projet sans vote).

Prise de position en novembre 2015 des créateurs et chefs d'entreprises français issus du secteur des biotechnologies sur les orientations économiques prises dans le pays pour leur activité.

Régulièrement présentée comme une société bloquée voire condamnée au déclin par divers auteurs de renom, la France piétine et ne parvient pas à retrouver un rythme de croissance économique apte à mettre fin à la crise qui l'affecte depuis plus de trois décennies.

Faisant écho à un article de Charles de Granrut, La croissance par décret, publié dans ces colonnes en mai dernier, Emile Quinet revient sur la question de la réforme économique en France

Les mesures annoncées par Nicolas Sarkozy pour travailler plus concerneront peu de Français. En revanche, il y a deux nouveautés : les entreprises pourront discuter librement de la durée du travail, et les salariés pourront négocier individuellement le paiement des RTT non prises.

Croissance en berne, déficits trop élevés... La stratégie économique de Nicolas Sarkozy est critiquée au sein même de sa majorité. Le paquet fiscal visant à soutenir la demande a coûté cher. Et son choix de ne pas s'attaquer rapidement aux déficits suscite la colère de Bruxelles.

Depuis son élection, Nicolas Sarkozy a ouvert des chantiers sur tous les fronts. De quoi cet activisme est-il le nom ? En cette rentrée, la gauche comme la droite s'interrogent sur son efficacité.

Pour Xavier Timbeau, l'économie française devrait rebondir l'été 2009... Mais il faudra cinq ans pour la désendetter, ce qui se traduira par un ralentissement de l'activité et le maintien d'un chômage élevé

Conçu pour gérer l'économie par temps calme, le tandem de Bercy se retrouve projeté en pleine tempête financière. Eric Woerth, au Budget, est impuissant face à l'aggravation des déficits et Christine Lagarde peine à fixer un cap à la politique économique

Oubliées, les thèses libérales et les tables de la loi de l'équilibre budgétaire, les gouvernements redécouvrent les vertus des dépenses publiques chères à l'économiste britannique Keynes. La France, endettée, manque de moyens, mais Nicolas Sarkozy, décidé à lutter contre la récession, a préparé un plan de relance. Tant pis pour les dogmes

Nicolas Sarkozy est décidé à obliger les banquiers à renoncer à leurs primes. Ceux de la Société générale et du Crédit agricole font de la résistance

Soutenir l'investissement plutôt que relancer la consommation ; aider les plus démunis plutôt que les classes moyennes : handicapée par une dette publique colossale, la France parie sur une relance très limitée face à la crise la plus profonde depuis la Grande Dépression. Mais elle ne fera pas l'économie d'un autre plan. Ni d'une crise sociale