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France -- Relations économiques extérieures -- Afrique centrale

Article

Auteurs
Branco, Juan Auteur du texte
Date parution pério
2016-11-01
Explications sur la mise en cause, en 2016, de l'entreprise publique française Areva, spécialiste du nucléaire, pour des investissements suspects dans trois gisements d'uranium africains, après avoir racheté l'entreprise UraMin (entreprise canadienne d'exploitation minière de l'uranium). Le groupe a pensé plusieurs milliards d'euros pour l'achat de trois mines fantômes en Namibie (Trekkopje), en Afrique du Sud (Ryst Kuil) et en Centrafrique (Bakouma), avant de les fermer précipitamment sans en avoir tiré un gramme de minerai.
Numéros de page :
2 p. / p. 4-5