Les deux phares de la littérature israélienne, Amos Oz et David Grossman, sont réunis par les correspondances que leurs ouvrages, pourtant très différents, entretiennent avec le curieux métier d'écrivain.

David Grossman a écrit un livre magistral sur le quotidien des Israéliens et la mort annoncée de son fils. Du roman comme exorcisme.

Portrait inoubliable d'une femme vibrante, épopée à la fois tragique et quotidienne d'une famille israélienne, c'est à un voyage au long cours que David Grossman nous invite : vers la douleur et l'émotion.

"Un cheval entre dans un bar", roman ravageur de David Grossman qui commence sur la scène d'un stand-up.

L'Israélien David Grossman revient avec un grand roman hanté par la mort de son fils. Rencontre.

Le grand écrivain israélien publie "J'écoute avec mon corps" et parle du conflit avec ses amis palestiniens, de la Bible et de la jalousie, de Bush et de la paix.

Exclusif. Le grand écrivain israélien, dont le fils a été tué lors de la dernière guerre du Liban, s'interroge sur les raisons d'écrire dans un monde si violent.

Un humoriste israélien entre en scène et se lance dans un numéro sardonique. Remontant l'histoire personnelle du comique amer, David Grossman laisse affleurer le désespoir de tout un pan de son pays.

Un jeudi soir, dans une cave d'une zone industrielle de la ville côtière de Netanya, en Israël, Dovalé G. entre en scène et commence son one-man-show...

C'est avec tendresse et tristesse que le grand écrivain israélien David Grossman regarde aujourd'hui son pays. Un Etat manichéen, aussi fort à l'extérieur qu'il est fragile à l'intérieur, travaillé par la peur. Ce "rescapé de ce qui reste de la gauche israélienne", comme il se décrit lui-même, continue de croire que le dialogue avec les Palestiniens est la seule solution. Sommaire. David Grossman : "Je n'oublie jamais le miracle que représente la création d'Israël". Un Etat, deux histoires. La nouvelle vie des kibboutz. La grande lassitude des Palestiniens.