Un Américain a vécu deux mois avec un coeur de porc génétiquement modifié pour le rendre compatible avec le système immunitaire humain. Une première qui confirme les promesses de la xénogreffe. De quoi pallier à terme la pénurie de greffons humains.

Les cochons génétiquement modifiés pourraient devenir le prochain vivier de « donneurs » d'organes. Mais plusieurs médecins mettent en garde : les xénogreffes risquent de devenir une usine à pandémies.

La transplantation, dans un corps humain, d'un organe issu d'une autre espèce animale pourrait-elle pallier la pénurie criante de greffons ? Le récent exploit d'une greffe de coeur de cochon est porteur de grands espoirs.

Des chercheurs ont réussi à créer des embryons mi-humains mi-porcs. Une première étape vers la fabrication d'organes par ces animaux. Mais peut-on réduire des êtres vivants a ce seul rôle ?