Alors que cette chaîne de montagnes dispose d’une biodiversité exceptionnelle, les querelles qui perdurent autour des frontières étatiques compliquent le travail des scientifiques. Et la pandémie de Covid-19 n’arrange rien.

Aujourd'hui, le "toit du monde" et les 13 autres "8 000" semblent être plus un business qu'une aventure, comme va nous l'expliquer notre expert, François Carrel, dans ce dossier. Beaucoup d'alpinistes regardent avec mépris ceux qui grimpent grâce à l'assistance des guides (les fameux sherpas), des bouteilles d'oxygène, des cordes fixes, des hélicoptères, etc. Plus besoin d'être un sportif de très haut niveau pour vaincre ces sommets légendaires. Sommaire. Le business de l'Everest. Anna et Gina Marie : la course à la mort. Le rêve d'Inoxtag. La revanche des Népalais.

Dans ce district népalais, les sommets de l'Annapurna forment un rempart naturel contre la mousson. L'aridité a donc toujours existé dans cet ancien royaume de culture bouddhiste tibétaine. Mais aujourd'hui, le manque d'eau se fait plus pressant, poussant des villages entiers de cultivateurs et d'éleveurs à déménager. Reportage.

L'Himalaya est l'un des derniers lieux sauvages au monde. Pour espérer survivre ici, il faut s'adapter à la nature, s'y soumettre. Je m'appelle Eliott Schonfeld, j'ai 24 ans et je quitte Paris pour traverser "le toit du monde".

Dans l'Himalaya, le yack affronte les tempêtes de neige sans frissonner. Ce géant ne craint pas le froid !