Un livret d'opéra peut-il être étudié en excluant sa destination musicale et scénique ? Où se situe la frontière entre la littérature et la littérature en musique ? Ces questions sont traitées à travers l'histoire du livret d'opéra italien. L'ouvrage montre comment, soumis aux méthodes d'analyse des livres d'auteurs, les libretti peuvent s'affirmer dans le champ de la littérature.

Une vue d'ensemble de cet art narratif japonais devenu un phénomène planétaire, décliné originellement sur des supports papier et élargi progressivement aux domaines du film d'animation, de la peinture, de la mode et de médias tels que les jeux vidéo. En six chapitres thématiques et chronologiques, les divers aspects de cet art graphique sont analysés jusqu'à leurs derniers développements. ©Electre 2021

Le théâtre d'ombres est un genre de spectacle constitué de récits mis en images sur écran blanc et accompagné de musiques ainsi que de chansons, donné dans des demeures privées puis dans des salles de spectacle. L'auteure retrace l'histoire de ce divertissement précurseur du cinéma, de son fondateur Dominique Séraphin jusqu'au cabaret du Chat noir, à Montmartre, sous la direction d'Henri Rivière. ©Electre 2021

Cette année, nous fêtons les 100 ans de la naissance de Michel Audiard. On le sait peu, mais l'auteur des Tontons flingueurs ou de Mélodie en sous-sol est celui qui a le plus adapté Georges Simenon au cinéma. Entre 1956 et 1961, il a collaboré à pas moins de six films tirés de l'œuvre de l'écrivain belge, le père de Maigret, auquel il vouait une grande admiration, le tenant pour “le plus grand romancier vivant”. Ce volume donne à lire les scénarios de trois de ces adaptations, dont Audiard fut à la fois le coscénariste et le dialoguiste : Le Sang à la tête (1956) de Gilles Grangier, Maigret tend un piège (1958) de Jean Delannoy et Le Président d'Henri Verneuil (1961). Trois films qui ont Jean Gabin pour acteur principal, à l'époque où Michel Audiard était son dialoguiste attitré et où l'acteur était devenu l'interprète simenonien par excellence.

Auteure majeure de science-fiction et de fantasy, Ursula K. Le Guin était aussi une théoricienne hors pair et une oratrice remarquable. Elle a parcouru universités, congrès, bibliothèques et librairies pour parler des sujets qui la passionnaient : le féminisme, l'anarchisme, le rôle humaniste de la littérature, et, surtout, la mission des littératures de l'imaginaire. Les textes rassemblés dans Le Langage de la nuit éclairent l’œuvre de la grande romancière et donnent un aperçu de son travail critique, mais aussi, et surtout, ils composent un manifeste pour l’imaginaire et un véritable plaidoyer pour l’imagination.Une somme de réflexions à mettre entre toutes les mains. Un vrai bonheur.ActuSF.Des textes actuels, d’une rare intelligence.NooSFere.  Considérée comme une icône par nombre de ses contemporains (Stephen King notamment), Ursula K. Le Guin laisse derrière elle un patrimoine d’œuvres incontournables, auréolées de nombreux prix.  Le Point.Préface de Martin Winckler.Traduit de l’anglais (États-Unis) par Francis Guévremont.

Une présentation historique et discographique du rock progressif italien, qui se distingue par ses couleurs, la primauté donnée à la langue italienne, aux claviers et au chant solo, plus proche de la Commedia dell'Arte et de l'oeuvre de Dante que des codes traditionnels des groupes anglo-saxons. ©Electre 2021