Paris accueille une rétrospective de l'oeuvre d'Edward Hopper. Grand cinéphile, il inspira aussi les cinéastes.

Huit ans après la Tate Gallery à Londres, le Grand Palais offre une rétrospective majestueuse de l'oeuvre d'Edward Hopper, icône de la peinture américaine du XXe siècle.

Le Grand Palais accueille la première rétrospective d'envergure consacrée à Hopper en France. De sa découverte de l'Europe à son retour à New York, retour sur la carrière du peintre.

Jusqu'au 28 janvier 2013, le Grand Palais, à Paris, propose une rétrospective consacrée au peintre new-yorkais, témoin désenchanté de l'Amérique triomphante du début du XXe siècle. Une oeuvre colorée et à contre-courant.

Alors que deux expositions, en France et en Angleterre, célèbrent l'oeuvre du peintre Edward Hopper, l'historien de l'art d'Eric Darragon nous éclaire sur les années de formation de l'artiste, passées à Paris entre 1906 et 1910.

A Londres, la Tate Modern présente une rétrospective Edward Hopper qui regroupe près de soixante-dix de ses oeuvres tandis que le Musée d'Art américain de Giverny évoque ses débuts parisiens. Portrait d'un formidable peintre de la vie moderne.

Inclassable, refusant farouchement d'appartenir à un quelconque courant "moderne", Edward Hopper s'était laissé oublier. Londres et Giverny proposent une nouvelle lecture du peintre américain, qui cherchait la lumière et parlait de solitude.