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Illouz, Eva (1961-....)

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Nouvelle extension du domaine de la marchandisation, la psychologie positive s'est imposée partout, de l'entreprise au coaching personnel ou à l'école. La sociologue israélienne Eva Illouz démontre dans son essai "Happycratie" que nos émotions sont aujourd'hui en voie avancée de privatisation.
Numéros de page :
pp.38-43

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Avec "Happycratie", Eva lllouz et Edgar Cabanas dénoncent une fabrique du bonheur qui vire à la tyrannie. Une charge contre la psychologie positive, science contestée accusée de servir l'idéologie néolibérale. Une analyse brillante non dénuée de parti pris.
Numéros de page :
pp.48-51

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Bulletin : Socialter 48
De l'euphorie du premier date Tinder à la tristesse des rencontres vides s'écoule parfois le temps d'un claquement de doigts. Au-delà du vague à l'âme ressenti par tous ceux qui ont le swipe triste, la marchandisation de nos relations amoureuses est un fait social majeur, dont nous peinons encore à mesurer les conséquences. Comment penser une société dans laquelle les liens sociaux les plus intimes s'évaporent ? Sommes-nous condamnés à vivre dans un roman de Michel Houellebecq ?
Numéros de page :
pp.10-17

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La sociologue Eva Illouz a choisi de s'intéresser à nos émotions autrement qu'en termes psychologiques et philosophiques. Et démontre comment le capitalisme et la société de consommation ont fait main basse sur nos vies psychiques et affectives.
Numéros de page :
pp.66-71

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A l'heure de Metoo et de Tinder, y a-t-il encore place pour le grand amour ? Pour la sociologue Eva Illouz, qui publie "La Fin de l'Amour", les relations sentimentales sont désormais soumises à une précarité sans précédent. Face à elle, le philosophe Raphaël Enthoven, qui vient d'adapter avec Coco "Le Banquet" de Platon en bande dessinée, oppose la permanence d'une aspiration, celle de trouver sa moitié et de réconcilier le désir et le temps. Une rencontre électrique où il est aussi question de la capacité des hommes et des femmes à s'entendre.
Numéros de page :
pp.8-13

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Après "Happycratie" et "Les Marchandises émotionnelles", la sociologue Eva Illouz questionne une nouvelle fois les travers de la libération sexuelle et la place du capitalisme dans nos relations amoureuses et sexuelles.
Numéros de page :
pp.68-69

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Avec son dernier essai, "la Fin de l'amour. Enquête sur un désarroi contemporain", la sociologue revient sur le destin des relations amoureuses dans la modernité. Entre progrès moral et désenchantement
Numéros de page :
pp.52-54

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Deux ouvrages dénoncent les méfaits de la "psychologie positive" et de l’injonction au bonheur. Quelle alternative ? Ne plus en faire un enjeu individuel.
Numéros de page :
pp.66-67

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A l'heure de Tinder, que reste-t-il de nos sentiments ? Dans un nouvel essai dense et palpitant, la sociologue Eva Illouz analyse l'extension du domaine du marché aux relations intimes.
Numéros de page :
pp.63-66

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Les histoires d'amour finissent mal, en général. Particulièrement aujourd'hui, où la confusion et les souffrances règnent. Pourquoi tant de désarroi ? Réponses avec la sociologue, qui se penche dans son dernier livre sur la fin de l'amour.
Numéros de page :
pp.40-43

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Date parution pério
2018-04-05
Elle est une des intellectuelles les plus influentes au monde. Sociologue des sentiments dans la modernité, l'Israélienne Eva Illouz a développé le concept central de "capital sexuel" pour analyser les inégalités de genre. Entretien exclusif.
Numéros de page :
pp.71-75

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Date parution pério
2018-08-23
Contre le règne de la psychologie positive, la sociologue Eva Illouz publie "Happycratie". Elle dénonce une pseudo-science qui alimente une industrie du bien-être brassant des milliards d'euros. Et alerte sur une idéologie au service du pouvoir.
Numéros de page :
pp.57-61