Aller au contenu principal

Jours tranquilles, brèves rencontres

Article

Groupie érudite et égérie de la scène artistique californienne des années 60-70, Eve Babitz avait le don de repérer avant tout le monde ceux qui allaient exploser, qu'ils soient rockeurs, acteurs ou écrivains. Ses souvenirs de l'époque, Jours tranquilles, brèves rencontres, sont enfin traduits.
Numéros de page :
5 p. / p. 62-66