Dans une enquête passionnante, Peter Stanford refait le procès du mauvais apôtre.

Le grand romancier israélien défend un pacifisme sans naïveté. Rencontre.

Que reste-t-il d'un certain sionisme socialiste utopique antérieur à la création d'Israël ? Exploration autour de la figure du traître et de ses héritiers, non exempte de quelques anachronismes.

C'est sans doute l'un des plus grands romans d'Amos Oz : « Judas » nous interroge sur ce qu'est un traître, dans la Bible, et dans l'Israël d'aujourd'hui.

Amos Oz, le plus grand écrivain israélien, publie "Judas", un roman traversé par le souffle de l'amour et de l'Histoire dans la Jérusalem secrète des années 50. Rencontre.

Le nouveau roman d'Amos Oz, "Judas", (à paraître le 25 août 2016 chez Gallimard) aborde des thématiques politiques. Trois personnages au bord du naufrage affrontent d'épineuses questions. Comment expliquer la scission entre juifs et chrétiens ? Quels sont les idéaux et les maux de l'histoire d'Israël ? Que signifient l'amour et la trahison ? Amos Oz ose déconstruire le Nouveau Testament et les idéologies politiques de son pays, dans un huis clos passionnant prônant le rapprochement des êtres.

Peter Stanford consacre à Judas une enquête biographique passionnante, qui rompt avec bien des clichés.

1959. Dans une Jérusalem étrangement silencieuse et coupée en deux par la guerre qui l'a meurtrie, trois personnages sont en quête de sens : Shmuel, Atalia, Gershom. Parce qu'ils sont des « points d'interrogation ambulants », leurs chemins se croisent. Amos Oz retrace leur errance dans "Judas", beau roman géopolitique qui s'entretient d'amour et prend des nouvelles du désir. Le livre paraîtra le 25 août 2016.