Jude, Radu (1977-....)
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Auteurs
Schweitzer, Ariel null
Bulletin : Cahiers du cinéma 752 - février 2019
Ariel Schweitzer livre la critique du film dans l'article intitulé "Tu n'as rien vu à Bucarest". Ensuite, il s'entretient avec le réalisateur, Radu Jude.
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Auteurs
Lefort, Gérard null
Bulletin : Les Inrockuptibles 1212
Un crime perpétré par l'armée roumaine durant la Seconde Guerre mondiale relaté dans un récit subtilement mis en abyme. Une réflexion très forte sur l'histoire et ses rémanences dans le présent.
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Numéros de page :
pp.54-55
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Auteurs
Bulletin : Positif octobre 2023
Date parution pério
2023-10-01
Qu'ont en commun les deux projets ? Leur fière volonté de peindre l'époque roumaine. "La fin du monde", provoque le titre à rallonge de Radu Jude, d'une splendide ironie. L'année 2020, énonce "MMXX", dont la graphie romaine majestueuse sera vite contredite. C'est-à-dire, pour chacun, un pays qui s'est occidentalisé mais libéralisé, embourgeoisé mais vassalisé, qui s'est confiné, masqué, déconfiné et tout le tralala, mais qui va mal.
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Numéros de page :
pp.46-47
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Auteurs
Bulletin : Europe
Date parution pério
2019-03-01
"Peu m'importe si l'histoire nous considère comme des barbares", le dernier long-métrage du cinéaste roumain Radu Jude, un des maîtres de la nouvelle vague contemporaine, commence comme un projet de film "postmoderne".
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Auteurs
Schweitzer, Ariel null
Bulletin : Cahiers du cinéma 770 - novembre 2020
Date parution pério
2020-11-01
Après plusieurs films, documentaires et fictions, traitant de l'histoire de la Roumanie, de la question de la mémoire et du rapport entre passé et présent (sujet du remarquable "Peu importe si l'histoire nous considère comme des barbares", sorti en 2018), Radu Jude, l'une des figures les plus singulières du Nouveau Cinéma roumain, revient dans son dernier film à un sujet ancré dans la réalité contemporaine.
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Auteurs
Aubron, Hervé null
Bulletin : Cahiers du cinéma 802
Date parution pério
2023-10-01
N'attendez pas trop de la fin du monde ? Quelque 2h45 de film tout de même, mais l'on sait qu'il ne nous est pas promis une apocalypse grandiose, un flash sublime, plutôt un effondrement de plus en plus laborieux, qui dure. Radu Jude a le nihilisme fleuri ou le cynisme généreux. Il ne fait pas dans la dentelle, peut assommer à l'occasion, mais assume avec honnêteté sa posture d'éléphant dans un magasin de porcelaine.