Les Anglais Kasabian ont trouvé avec "Empire" leur nouvelle voie, entre Led Zep et Oasis. Des gamins faussement braillards, mais vraiment touchants, qui rêvent de la splendeur rock des années 70.

Torses bombés et guitares droguées, les Anglais de Kasabian s'offrent un road-movie à forte teneur tarantinesque

A l'heure du quatrième album, tout concorde pour que le groupe de Leicester triomphe enfin. Reste à savoir si Serge Pizzomo et Tom Meighan sont les hommes de la situation. Rencontre avec le binôme, à la fois perché et terre-à-terre.

Frimeurs sympathiques, les petites gouapes des Midlands tentent une nouvelle offensive à base de riffs technoïdes et de psyché rentre-dedans. Revue des troupes.

Enfin à la hauteur de ses mégalomanes ambitions, la formation des Midlands révèle de fulgurants progrès sur son troisième album. Rencontre avec des hooligans frappés par la grâce

Régulièrement comparé à un Oasis épaulé par des machines technoïdes, le groupe de Leicester aura-t-il l'impact de ses aînés ? Bilan sur la route.

Incarnation parfaite du plaisir simple, le groupe de Leiceister continue de rassembler les masses en poussant la formule Oasis dans des retranchements toujours plus électroniques et hallucinés.

Son leader l'affirme : Kasabian n'est pas un "groupe ridicule pour hooligans". La preuve avec un cinquième album qui fusionne rock, electro et hip-hop.