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Le Vent nous emportera

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[...] Dans "Le Vent nous emportera", des habitants de la capitale découvrent en venant vivre dans un village de campagne, des rythmes différents, une manière autre de'appréhender l'existence. On a trop défini la cinéma de Kiarostami par une esthétique de la transparence, héritière de Rossellini, pour n'avoir pas fini par en masquer de plus profonds enjeux.
Numéros de page :
/ p. 4-15

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Alors que sort son nouveau film, "Le vent nous emportera", un livre et une exposition révèlent que le réalisateur iranien est aussi un grand photographe.
Numéros de page :
/ p. 192-193

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Dans des contextes forts différents, Lynch et Kiarostami s'interrogent de la même façon sur l'espace qui sépare les lieux et les êtres, sur le temps qu'il faut accepter de prendre ou de perdre pour franchir les distances.
Numéros de page :
/ p. 37-36

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Consacré par le festival de Cannes en 1997 où il reçut la palme d'Or pour "Le Goût de la cerise", Abbas Kiarostami s'impose comme le chef de file du cinéma iranien actuel.
Numéros de page :
/ p. 54-57