Lesbre, Michèle (19..-....)
Article
Auteurs
Ferniot, Christine Auteur du texte
Bulletin : Lire 375 - janvier 1900
Michèle Lesbre mêle les lieux, le passé et le présent. Portrait d'un auteur aux accents modianesques
Article
Auteurs
Ferniot, Christine Auteur du texte
Bulletin : Lire 432 - février 2015
Article
Auteurs
Bulletin : <>Quinzaine littéraire 955 - octobre 2007
Michèle Lesbre signe un roman très doux sur un voyage intérieur et géographique, une manière d'être heureux à nouveau.
Article
Auteurs
Pradelle, Hugo Auteur du texte
Bulletin : <>Quinzaine littéraire 994 - juin 2009
Date parution pério
2009-06-16
Le nouveau livre de Michèle Lesbres poursuit avec modestie un travail sur le temps, la rencontre, le voyage, l'oubli, la force de la parole et le compagnonnage littéraire
Article
Auteurs
Czarny, Norbert Auteur du texte
Bulletin : <>Quinzaine littéraire 1039 - juin 2011
Date parution pério
2011-06-01
Édith Arnaud, la narratrice de ce court récit, a l'habitude de traverser le Jardin des Plantes pour se rendre à son travail. Cette promenade est contrariée, un matin d'hiver, par un panneau : on ne peut pénétrer dans le Jardin envahi par la neige. Un autre temps, un autre espace s'ouvrent alors, celui du lac immense et blanc qu'elle a connu en sa jeunesse, dans l'utopie des années soixante.
Article
Auteurs
Czarny, Norbert Auteur du texte
Bulletin : <>Quinzaine littéraire 1077 - février 2013
Date parution pério
2013-02-01
C'est d'abord une question de paysage, de couleurs, de lumière, une affaire de perceptions : les traces rouge sang, le gris d'acier de la mer, une robe verte achetée et laissée sur un banc, un vase ébréché dont on ne peut se défaire... On entre dans l'univers de Michèle Lesbre par un réseau sensible, des notations qui se croisent, se rencontrent, comme les êtres. Rien qui pèse ou qui pose, pour reprendre les mots de Verlaine, poète qui pourrait traverser ces pages.
Détails
Numéros de page :
1 p. / p. 5
Article
Auteurs
Czarny, Norbert Auteur du texte
Date parution pério
2015-02-16
« On ne sait quel sens donner à certains souvenirs tant leur violence, parfois, marque le temps. » C'est une réflexion de l'héroïne et narratrice, dans les dernières pages de "Chemins", une réflexion qu'elle fait dans une cour d'école silencieuse, non loin des bords de Loire, en été.