Hanté par le meurtre barbare de l'envoyé du "Wall Street Journal", BHL publie les résultats de son enquête au Pakistan dans un livre choc.

Alors que son livre sur Daniel Pearl a été plébiscité aux Etats-Unis, Bernard-Henri Lévy publie, en France, deux nouveaux essais, "Récidives" et "Jours de colère". Il s'explique, pour "L'Obs", sur les grands combats de sa vie.

Le promoteur des "Nouveaux philosophes" revient sur le cas Glucksmann, défend Ségolène Royal malgré tout et refuse de diaboliser Nicolas Sarkozy.

Ils n'avaient pas débattu depuis trente ans. Les deux grandes figures de la "nouvelle philosophie" ont partagé bien des combats, et puis leurs chemins ont divergé. Jusqu'à cette présidentielle qui les oppose.

Référence capitale pour plusieurs générations d'intellectuels, le célèbre philosophe électrisa la pensée politique des années 1960. Quatre de ses fameux anciens élèves évoquent pour nous leur enseignant, dont l'esprit hantera l'année à venir .

C'est une première : à l'invitation de la fondation Maeght, le philosophe a conçu une exposition qui explore les relations entre l'art et la philosophie. Un parcours où il est question de rapport au sacré et d'iconoclasme.

Certains lui reprochent d'être trop médiatique et de côtoyer les riches et les puissants. Bernard-Henri Lévy aurait pu basculer chez Sarkozy, comme certaines personnalités les plus emblématiques de l'opposition.

Le nouveau philosophe français et le marxiste slovène s'opposent ici sur l'avenir de la gauche et le retour de l'idée communiste.

Très impliqué dans la défense des insurgés en Libye, le philosophe répond à ceux qui l'accusent de ne rien dire sur la répression en Syrie.

Dans ″Les Aventures de la vérité″, Bernard-Henri Lévy explore les rapports agités entre art et philosophie. Un débat qu'il prolonge ici avec Daniel Buren, l'un des plus grands artistes français contemporains.

Le 27 juin dernier a eu lieu à Sarajevo la première de la nouvelle pièce de théâtre de Bernard-Henri Lévy, "Hôtel Europe", un monologue interprété par Jacques Weber et mis en scène par le Bosniaque Dino Mustafic. Donnée le 11 juillet à la Fenice de Venise, dans le cadre du Festival d'été, puis à Kiev, la pièce sera jouée à Paris, au théâtre de l'Atelier, dès le 9 septembre. Jacques Weber incarne sur scène un écrivain dont on comprend vite qu'il est le double de l'auteur de la pièce.