Parce qu'il avait vécu dans son intimité, l'hommage de Mathieu Lindon au philosophe était très attendu. Mais le buzz a fait long feu.

Mathieu Lindon retrace le parcours d'un héroïnomane, entre manque, désir et jouissance impossible. Un roman sans complaisance, beau et toxique, sur la vie envisagée comme dépendance.

Mathieu Lindon se souvient de ses années de jeunesse, ce moment où il côtoyait Foucault, Guibert...

Le président du Front national vient de faire condamner pour diffamation un roman de Mathieu Lindon, lequel fait appel. C'est un précédent gravissime.

Mathieu Lindon esquisse un autoportrait en explorant les angles morts de sa mémoire.

Mathieu Lindon expose les cogitations d'un héroïnomane.

Sans totem ni tabou, le portrait d'un immeuble parisien, dont les occupants doivent cohabiter avec un SDF qui squatte l'entrée.

Le fils de Jérôme Lindon avait 23 ans lorsqu'il rencontra, dans son appartement de la rue de Vaugirard, Michel Foucault, qui allait changer sa vie.

Textes sur le manque, la dépendance et l'homosexualité, ces romans de Mathieu Lindon et de Dominique Noguez montrent à quel point le désir et le renoncement vont de pair. Quel corps l'artiste doit-il privilégier : le sien ou celui de son oeuvre ?

« Un immeuble est un peu comme une boîte de nuit, brassant des populations différentes, à cela près que ce n'est pas parce que quelqu'un habite quelque part qu'il souhaite forcément s'y lier avec quelqu'un d'autre ».