Dans "Quelques heures de printemps", le "grand bon" du cinéma français révèle un tout autre visage. Sidérant.

C'est l'histoire d'une amitié vive, d'une idée culottée, d'un film ludique et profond où Alain Cavalier et Vincent Lindon jouent au Président et au Premier ministre. Rencontre.

Avant de présider le jury du 39e Festival du film américain de Deauville, du 30 août au 8 septembre 2013, l'acteur revient sur ce qu'il préfère dans le cinéma hollywoodien. Sur ce qui l'agace aussi. Paroles de cinéphile.

L'acteur était l'invité d'Unifrance à New York, où un hommage lui était rendu. Entre les taxis jaunes, L'Express a suivi cette figure d'un cinéma français qui cherche à se frayer une voie outre-Atlantique.

Après "La Loi du marché", Stéphane Brizé retrouve Vincent Lindon pour "En guerre", un film engagé qui raconte une grève dans une usine. "L'Obs" les a réunis. Interview politique.

"La Loi du marché" marque la troisième étape de la collaboration fructueuse entre le cinéaste et l'acteur devenu son alter ego. Récit d'une relation professionnelle transformée en une amitié indestructible.

Le comédien questionne sans cesse. Lui, les autres, ses choix. Emmerdant et attachant, cet éternel insatisfait est dévoré par l'obsession de la perfection. Après avoir incarné avec justesse des personnages modestes, enchaîné les films d'auteur, Vincent Lindon joue à 54 ans un flic dur à cuire dans "Mea Culpa". Tournant vers une carrière "populaire" ou baroud d'honneur avant de passer à la réalisation ?

Un dessinateur décortique un film mythique. Ici, "Pater", un film français réalisé par Alain Cavalier en 2011, avec Vincent Lindon.