Livre phare de la rentrée littéraire, "Les Bienveillantes" plongent irrésistiblement le lecteur dans la tête d'un nazi. Une immersion au coeur de l'horreur.

C'est l'un des plus étonnants succès de librairie de l'année. "Les Bienveillantes" de Jonathan Littell déroule l'histoire de la Shoah du point de vue des bourreaux.

Une puissance d'évocation, un style mêlant violence et onirisme : ce premier roman de Jonathan Littell a enthousiasmé la rédaction. Voici le portrait de l'auteur et un extrait page 46.

Pourquoi écrire au XXIe siècle un livre sur un officier SS ? "Les Bienveillantes", premier roman de Jonathan Littell, offrent une plongée atemporelle dans les profondeurs de l'homme.

"Je suis un homme comme les autres. Je suis un homme comme vous. Allons, puisque je vous dis que je suis comme vous !" Les phrases qui terminent la première partie des "Bienveillantes" ont de quoi glacer le sang, malgré leur caractère anodin.

Suite à la polémique autour des inexactitudes linguistiques et historiques supposées dans l'ouvrage de Jonathan Littell, je pense qu'il est indispensable de rétablir certaines vérités en replaçant le débat sur le seul terrain légitime, celui de la littérature.

Dans "les Bienveillantes", un époustouflant premier roman de 900 pages rédigé en français, un jeune Américain fait raconter les horreurs de la guerre par un SS. Il s'appelle Jonathan Littell.

Comment un individu "ordinaire" peut-il devenir le pire des assassins ? C'est cet insondable, et toujours actuel, mystère qu'explore le livre de Jonathan Littell.

Chef-d'oeuvre pour les uns, tour de force stérile pour les autres, voire ratage complet pour quelques-uns, "Les Bienveillantes", de Jonathan Littell ont réveillé la critique parisienne.