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Mater la divine garce

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La littérature mexicaine n'est pas faite que d'une épopée révolutionnaire déjà lointaine - les exploits d'Emiliano Zapata et de Pancho Villa - ou de l'interrogation réitérée de l'identité nationale qui se poursuit depuis "Le Labyrinthe de la solitude" d'Octavio Paz jusqu'à "La frontière de vere" de Carlos Fuentes. Antonio Tabucchi nous en avertit dès sa préface.
Numéros de page :
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