Une étude anglaise, publiée début août, confirme une augmentation du risque de cancer du sein chez les femmes sous traitement hormonal substitutif, les THS.

Médecins déboussolés, laboratoires pharmaceutiques sur les dents, femmes suspicieuses et inquiètent : les dernières études américaines sur le traitement hormonal substitutif ont fait l'effet d'un coup de tonnerre.

Les traitements hormonaux de la ménopause (THM), qui améliorent la qualité de vie et préviennent l'ostéropose, augmenteraient le risque de cancer du sein. Chaque médecin peut et doit évaluer les risques pour prescrire un traitement adapté.

Deux études, l'une américaine, l'autre française, montrent que le recours aux estrogènes n'augmente pas la fréquence de cancer du sein.

Des traitements hormonaux de substitution peuvent être administrés aux femmes à partir du moment où elles ne fabriquent plus d'hormones. Les risques potentiels doivent être évalués.