Dans un Moyen Âge a priori misogyne, tenu par des hommes et par un clergé masculin, la place de la femme est étroite, même si la tendance actuelle la peint plus libérée que ne l'ont fait les siècles précédents. C'est ainsi qu'émergent de l'Histoire des chefs de guerre, des femmes de lettres ou de savoir, des travailleuses, des dirigeantes... Autant de femmes formidables que nous rencontrerons, mais qui restent malgré tout des exceptions. Aussi c'est au quotidien que nous allons tenter d'approcher « La femme médiévale » dans sa diversité. Nous la verrons à sa toilette, dans sa famille, à ses fourneaux. Nous connaîtrons ses amours, ses tâches de tous les jours et ses loisirs... Afin de mieux la connaître et ainsi mieux comprendre l'héritage affectif et cognitif qu'elle nous a légué.

Le photographe belge propose une radiographie du mal dont souffre son pays, déchiré entre deux langues et deux populations, à travers les portraits de personnes en marge de la société, qui tentent coûte que coûte de survivre : des prisonniers, des malades mentaux, les ouvriers d'une usine de sidérurgie en train de fermer, etc. Ouvrage publié dans le cadre d'une exposition à Mons et à Anvers. ©Electre 2015

Un portrait du peuple letton, à travers l'histoire d'une nation récente et avant-gardiste sur les questions de société telles que l'écologie, les droits des femmes et des minorités. ©Electre 2017

Fasciné par Delhi, l'historien et journaliste y passe une année. Il explore la ville pour découvrir les vestiges laissés par les empires qui se sont succedés dans la région et fait le portrait d'habitants de Dehli, de Pendjabis, d'Anglo-Indiens, etc. Electre 2015

Le portrait de Francklyn et d'Olivier, deux frères qui vivent dans le village d'Andranotakatse, dans le sud de Madagascar. Chaque dimanche, ils parcourent 20 km pour aller à l'école. Afin d'accéder à cette éducation, ils vivent seuls, loin de leur famille, le reste de la semaine. Electre 2015

À la fin du XIXe siècle, Paris ne faillit pas à sa réputation de « Babylone moderne ». Si Parisiens et étrangers aiment tant flâner le long de ses boulevards, s'attarder à la terrasse de ses cafés, s'encanailler dans ses bals ou ses guinguettes, c'est que la compagnie y est agréable : dans le cabinet particulier d'un restaurant ou la luxueuse loge d'un théâtre, dans un hôtel garni ou une prestigieuse maison de rendez-vous, la nuit comme le jour, les prostituées de la capitale, filles publiques anonymes, lorettes scandaleuses et célèbres courtisanes se vendent au plus offrant, sous l'oeil attentif des agents des moeurs. Autant de rendez-vous galants qui façonnèrent la géographie de la ville et contribuèrent, pour longtemps, à consacrer Paris capitale de l'amour et des plaisirs. Docteur en histoire, Lola Gonzalez-Quijano consacre actuellement ses recherches au demi-monde et aux réseaux qui se nouent autour des prostituées de luxe. Issu de sa thèse soutenue à l'EHESS sur la prostitution parisienne sous le Second Empire et la IIIe République, Capitale de l'amour est son premier ouvrage.