Malcom Morley aime raconter comment le trouble éprouvé la nuit par les bombardements allemands alors qu'il était enfant, à Londres, pendant la Seconde Guerre mondiale, a donné lieu à ses peintures actuelles d'avions et d'aviateurs. Et ce n'est pas la constitution d'un savoir que retient l'artiste, mais la valeur picturale des avions de combat et l'« air » pictural des pilotes, élevés au rang de héros, à l'instar de ses précédentes icônes du sport.