D'un côté, un pays déchiré par les milices, squatté par l'Etat islamique et sur lequel prétendent régner deux gouvernements. De l'autre, des voisins africains et des occidentaux divisés sur les moyens d'agir. Et pourtant, il y a urgence.

Ex-membre de la Banque africaine de développement, cette Tunisienne a pris la tête du Fonds vert de l'ONU. Une structure qui, avec 10 milliards de dollars, doit faire ses preuves avant la fin de l'année 2015.

Soupçonné de partialité, montré du doigt par l'opposition, l'envoyé spécial de l'ONU pour la région des Grands Lacs a choisi de renoncer à son rôle de facilitateur dans la crise au Burundi. Il s'en explique dans les colonnes de "Jeune Afrique".

Nommé pour mettre fin au scandale des viols commis par les casques bleus, ce Gabonais, pur produit de l'administration onusienne, plaide pour des élections rapides en Centrafrique.

En verra-t-on une, brisant le trop fameux « plafond de verre », accéder un jour au secrétariat général ? Pour la première fois, la chose paraît envisageable. Et déjà, des noms circulent.

Porte-parole de l'Afrique à la conférence onusienne sur les changements climatiques qui s'ouvre à Paris fin novembre 2015, ce Malien incarne une nouvelle génération d'Africains, écologistes et pragmatiques.

Après les Objectifs du millénaire, l'ONU présente ses Objectifs de développement durable. Un plan ambitieux, mais dont le financement s'annonce complexe.

Si les négociations entre les autorités de Tobrouk et de Tripoli ont échoué, la responsabilité en incombe en partie à la communauté internationale, qui a multiplié les maladresses.

L'ancien ministre tchadien des Affaires étrangères est pressenti pour succéder au Tunisien Mongi Hamdi à la tête de la mission onusienne au Mali. Avec pour atout son expérience somalienne.

Les discussions entre les deux autorités rivales ont débouché sur ... deux textes concurrents, l'un élaboré sous l'égide de l'ONU, l'autre négocié directement entre Libyens.

Autour d'une daurade à New York, le secrétaire général de l'ONU nous parle des réfugiés, de la bureaucratie onusienne, et de son étonnant parcours personnel.