Au moment où toute la diplomatie française se déployait dans le monde arabe pour tenter de sauver les deux journalistes français, et où les autorités établissaient difficilement sur place des contacts avec les ravisseurs, un homme parvenait lui aussi à entrer en relation avec eux.

Fin mars 2005, tout était réglé. La journaliste de "Libération" allait enfin être libre. Et puis les otages roumains sont apparus. L'insaisissable chef des ravisseurs a changé ses plans. Tout était à refaire. A Paris et à Bucarest, Serge Raffy a reconstitué, auprès des acteurs clés de la négociation, une terrifiante partie de poker...