L'oeuvre de François Ozon attire indubitablement l'attention. Parce qu'elle est foisonnante, le cinéaste parvenant tant bien que mal à nous livrer un nouveau film chaque année, quelle que soit l'ambition du projet. Mais aussi parce qu'elle est des plus variées, Ozon alternant volontiers des oeuvres grand public, qui d'ailleurs cartonnent sans se faire prier, avec des films plus fragiles, souvent plus douloureux.

Le dernier opus de François Ozon, avec sa galerie de stars, propose un étonnant défilé de visages figés. Il en résulte une sorte de roman-photo où l'émotion résulte plus du décor que des expressions.

Le dernier film de François Ozon met en scène un homme qui adopte progressivement des habits de femme et une femme qui renonce aux attributs féminins. Mais qu'est-ce que le travestissement ?

Ricky commence comme un drame social et se termine comme un conte de fées. Le cinéaste de Huit Femmes adore entraîner le spectateur là où il ne penserait jamais aller

Huit ans après ″8 Femmes″, Catherine Deneuve retrouve François Ozon. ″Potiche″ est le portrait d'une femme soumise qui s'émancipe et prend le pouvoir. A Jérôme Garcin, elle raconte ses combats et ses passions.

L'héroïne de Se souvenir des belles choses est, une fois encore, saisissante dans Le Refuge où elle a campé, pendant sa propre grossesse, une jeune femme enceinte qui se reconstruit après la mort par overdose de son petit ami. Récit d'un tournage singulier.

D'Isabelle Huppert à Virginie Ledoyen , une grande partie des stars féminines françaises a dragué la caméra de François Ozon. Ce mois-ci, le cinéaste a même transformé Catherine Deneuve en ″Potiche″ dans une satire pop et jubilatoire. D'où lui vient cette fascination pour les actrices ? ″Studio Ciné Live″ a voulu tout savoir.

Douzième long métrage du très prolifique François Ozon, "potiche" est sans doute le film le plus drôle et ludique du réalisateur depuis "8 femmes" - avec déjà Catherine Deneuve.

François Ozon filme ici une étonnante relation à trois dans une Allemagne qui sort de la Première Guerre mondiale.

Mariés, hétéros, pères parfois, certains hommes s'épanouissent en s'habillant en femme. François Ozon et Philippe Djian en ont fait le motif central de leurs dernières oeuvres. Réflexions croisées sur les aventuriers du genre.