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Ozon, François (1967-....)

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L'éclectisme des genres et la virtuosité de la mise en scène sont des caractéristiques du cinéma d'Ozon que lui reconnaissent aussi bien ses admirateurs que ses détracteurs. Mais, s'il a déjà abordé des thèmes à résonance sociale (récemment la prostitution dans "Jeune et Jolie", l'identité sexuelle dans "Une nouvelle amie"), c'est la première fois qu'il s'attaque frontalement à un « grand sujet » de société, les silences de l'Eglise vis-à-vis des prêtres pédophiles. Le sujet est tellement fort que la mise en scène semble invisible ; elle n'en est pas moins magistrale.
Numéros de page :
pp.12-19

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Le prolifique réalisateur est de retour en compétition à Cannes avec « Tout s’est bien passé ». S’il aime s’essayer à tous les genres, le cinéaste s’entoure à chaque projet d’un savant mélange de fidèles et de nouveaux venus.
Numéros de page :
pp.52-63

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Le cinéaste français réinvente un classique de Fassbinder. Et réussit, au-delà de l'exercice de style, une comédie mordante mais sensible.
Numéros de page :
pp.156-157

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L'égérie de Rainer Werner Fassbinder joue dans "Peter von Kant", le nouveau film de François Ozon, cinquante ans après avoir fasciné dans la version originale du réalisateur allemand. Un rôle en forme de retour vers le passé pour la comédienne de 78 ans, hantée par ceux qu'elle a aimés.
Numéros de page :
pp.80-81

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François Ozon tisse un thriller d'épouvante sur le thème du double maléfique, prétexte à une nouvelle étude de femme. Avec la sublime et énigmatique Marine Vacth.
Numéros de page :
p.69

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De la Comédie-Française au TNP, de Truffaut à Fassbinder en passant par Antonioni et Welles, la chanteuse et comédienne était l'incarnation vive de la mémoire du cinéma. Figure libre et aventureuse, elle est décédée le 31 juillet 2017, à 89 ans. Sommaire. Une star immortelle. La 9e femme, par François Ozon. Ma Jeanne, par Etienne Daho.
Numéros de page :
pp.8-13

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Bulletin : Première 493
Avec "Grace à Dieu" le cinéaste donne la parole aux victimes du scandale pédophile de Lyon dans un film magistral qui mélange les genres (mélo, thriller et film-enquête). Il revient pour "Première" sur ce qu'il présente comme le "Spotlight" à la française.
Numéros de page :
pp.66-71

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Bulletin : Première 493
Ozon ne signe pas le film dossier sur le scandale pédophile lyonnais qu'on attendait, mais un théorème sur la fragilité masculine et le désir de reconstruction porté par trois acteurs à la puissance stupéfiante.
Numéros de page :
pp.108-109

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Bulletin : Le Point
François Ozon s'empare de l'affaire de pédophilie qui a secoué le diocèse de Lyon. Le film sera en salles quand le jugement sera rendu. Du jamais-vu au cinéma.
Numéros de page :
pp.74-77

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Attention, blasphème : le nouveau film de François Ozon montre le combat des victimes d'un curé pédophile à Lyon durant vingt ans. L'avocat du prêtre mis en examen vient de demander le report de sa sortie dans les salles...
Numéros de page :
pp.94-97

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François Ozon a construit "Grâce à Dieu" à partir du combat de trois victimes d'un prêtre pédophile. Rencontres avec ces hommes et leurs proches, enquête, le cinéaste a d'abord pensé tourner un documentaire avant que ne s'imposent la fiction et la création d'un "objet artistique".
Numéros de page :
pp.20-25

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On aime que François Ozon se renouvelle formellement à chaque film. Mais rarement le changement avait été aussi radical qu'avec cet "Amant double" où il s'aventure, plus franchement encore que dans "Swimming Pool", sur le territoire du polar psychanalytique : la gémellité torturée, des secrets du passé qui empoisonnent le présent, une héroïne qui explore de nouveaux horizons sexuels en se demandant si elle ne perd pas la raison... Avec un plaisir de filmer communicatif, le cinéaste s'empare des codes du genre pour s'autoriser toutes les outrances.
Numéros de page :
pp.12-19