Mais qui est donc cette mystérieuse beauté ? Une maîtresse du Roi d'Espagne ? Philippe IV en personne aurait-il commandé le tableau ? Ce sont ces questions et bien d'autres encore que Rose-Marie et Rainer Hagen posent aux chefs-d'oeuvre. Ils nous parlent des droits du peintre et des volontés du commanditaire, de l'amour de l'art et de l'amour d'autrui, du vice et de la mode, de faim et de convoitise, de politique et d'argent, dévoilant ainsi les secrets de ces tableaux qui couvrent six siècles d'histoire. (4e de couverture)

Que peut bien faire cette jolie blonde sur un coquillage ? Rose-Marie et Rainer Hagen répondent à cette question et à d'autres encore, posées aux plus grands chefs-d'oeuvre de la peinture. Ils nous racontent, dans le langage d'aujourd'hui, modes et idées, tendances et intrigues, passions et vices, la vie d'époques révolues. (4e de couverture)

A travers 20 symboles classés en 2 catégories (la nature et l'objet) et illustrés par 68 tableaux (du XVe siècle à aujourd'hui), cet ouvrage veut apprendre à mieux lire un tableau : comment décrypter les symboles, comprendre pourquoi et comment ils sont présents sur le tableau, le sens supplémentaire qu'ils donnent à l'oeuvre et comment ils se transmettent et se transforment au cours du temps.

Une analyse de l'évolution du genre de la peinture de guerre depuis la Renaissance. Avec la sécularisation du pouvoir, le traitement de la guerre dans l'art et son registre symbolique glissent de la gloire à la compassion, du message officiel de commande à la vanité. Par l'iconographie, ce sont bien les façons successives de lire l'histoire qui sont étudiées.

L'ophtalmologiste étudie les modes de représentation picturale de la transparence, des ombres, des effets de lumière, etc., depuis l'Antiquité.

La facilité avec laquelle chacun reconnaît quelque chose dans une toile dite réaliste dépend-elle de la plus ou moins grande familiarité avec le système de représentation utilisé, comme le soutient Nelson Goodman, ou bien d'un quelconque caractère naturel de cette représentation, comme l'affirme Ernst H. Gombrich ?

Réflexion sur la rareté des représentations du rire dans la peinture occidentale et en particulier dans le genre du portrait, et sur la dimension iconoclaste du rire, source d'humilité et de sociabilité.