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Pentagon Papers

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Bulletin : Première 481
Avec ce 31e film qui défend la presse indépendante en tant que contre-pouvoir indispensable, Steven Spielberg s'affirme comme un héritier de John Ford et Frank Capra, dont il contribue à perpétuer la tradition.
Numéros de page :
pp.92-93

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On ne compte plus les (bons) films consacrés aux (bons) journalistes. Plus que tout autre métier, celui de la presse enflamme l'imaginaire des cinéastes. Dernier exemple : "Pentagon Papers", de Steven Spielberg, qui sublime le combat du "Washington Post", dans les années 70. Résultat : un scoop filmé comme une extase !
Numéros de page :
pp.62-65

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La propagande belliciste de Nixon démontée par un lanceur d'alerte avant l'heure et un grand quotidien. Une évocation fougueuse des puissances de la presse.
Numéros de page :
pp.70-71

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Bulletin : Première 483
Pour ses deux premiers films de septuagénaire, l'"enfant du cinéma" enchaîne le hit adulte "Pentagon Papers " et le blockbuster "Ready Player One", relançant l'éternelle interrogation à propos d'une oeuvre double face au point de sembler bipolaire.
Numéros de page :
pp.46-53

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C'est entendu, Spielberg est un idéaliste. Mais qu'est-ce que cela veut dire ? Comment s'incarne une idée ? Quel rapport avec l'action ? Cela a tout à voir, et le rapport des deux ne peut être que de profonde intimité. Après "Lincoln", auquel on pense forcément par ce motif de la décision, le cinéaste trouve avec le premier scénario écrit par Liz Hannah une formidable occasion de réaffirmer cette idée forte, puissant vecteur également de mise en scène, à travers un autre rythme, un autre ton, et avec une légèreté nouvelle. Sommaire. Kay ou l'intime conviction. Passer à l'action.
Numéros de page :
pp.8-10, 12-18

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Les esprits chagrins qui ne manqueront pas de montrer du doigt ce qu'ils croient être démodé ou naïf chez Spielberg, devraient prendre la peine de voir ce que «montre » ("dénonce" serait déplacé et peu dans le ton du cinéaste) "The Post" à l'heure de l'administration Trump : les fake news fabriquées de toutes pièces, la vérité étouffée, la diabolisation de la presse à des fins de dissimulation politique, le sacrifice cynique des vies humaines.
Numéros de page :
pp.34-35

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Bulletin : Le Point 2368
Avec « Pentagon Papers », porté par Meryl Streep et Tom Hanks, l'empereur du cinéma populaire célèbre les grandes heures du journalisme d'investigation, quand le "Washington Post" publiait les documents secrets du Pentagone sur la guerre du Vietnam.
Numéros de page :
pp.74-78