Stéphanie d'Oustrac reprend le rôle de Carmen dans la célèbre production du Festival de Glyndebourne. Elle évoque sa vision de la femme diablesse.

Elle a d'abord éprouvé les cordes d'un violoncelle avant de jouer avec celles de sa voix. Une voix légère et haute, de soprano colorature, qu'elle mène vers des sommets inaccessibles. A seulement trente-et-un ans, Sabine Devieillhe, s'impose aujourd'hui comme l'une des chanteuses de sa génération. A l'occasion de l'enregistrement de son troisième disque où figurent notamment des extraits de "Lakmé", de Léo Delibes, nous l'avons rencontrée.

Elle a d'abord éprouvé les cordes d'un violoncelle avant de jouer avec celles de sa voix. Une voix légère et haute, de soprano colorature, qu'elle mène vers des sommets inaccessibles. A seulement trente-et-un ans, Sabine Devieillhe, s'impose aujourd'hui comme l'une des chanteuses de sa génération. A l'occasion de l'enregistrement de son troisième disque où figurent notamment des extraits de "Lakmé", de Léo Delibes, nous l'avons rencontrée.

On l'a vue débuter dans le baroque, se trouver une nouvelle voix dans Mozart avant de se révéler en Olympia, Lulu, Blanche de la Force avec l'aura des grandes tragédiennes... et une fantaisie qui n'appartient qu'à elle.

On l'a vue débuter dans le baroque, se trouver une nouvelle voix dans Mozart avant de se révéler en Olympia, Lulu, Blanche de la Force avec l'aura des grandes tragédiennes... et une fantaisie qui n'appartient qu'à elle.

Du haut de son mètre quatre-vingt-quinze, c'est un monument qui vous accueille : de corps, de timbre, de rire, Ambrogio Maestri est bien ce "grand" baryton qui depuis quinze ans a imposé sa marque à la planète lyrique. En ce mois de juin 2015, retour sur quelques rôles marquants depuis sa loge du Royal Opera House Covent Garden où Maestri prépare la reprise du « Falstaff » mis en scène par Robert Carsen, en attendant de retrouver, à Paris en novembre, le personnage de Dulcamara dans « L'Elixir d'amour » vu par Laurent Pelly.