L'ouvrage ouvre à la compréhension nuancée du vécu des femmes qui n'ont pas d'enfant. Il offre des pistes de réflexion pour les femmes et les couples qui s'interrogent sur la place à donner ou non à la parentalité, qu'elle soit biologique ou adoptive.

ON N'EST PAS VRAIMENT FEMME AVANT D'°TRE MÈRE T'AS QUE 30 ANS, TU VAS CHANGER D'AVIS T'AS DÉJÀ 30 ANS, FAUT TE DÉP°CHER ! Y A UN PÈRE ' A QUAND LE DEUXIÈME ' T'ES SÞRE, UN TROISIÈME ' AH BON, TU ALLAITES ' AH BON, TU N'ALLAITES PAS ' °TRE MÈRE À 20 ANS, C'EST IRRESPONSABLE °TRE MÈRE À 40 ANS, C'EST DANGEREUXTU VEUX PAS D'ENFANT : T'ES FÉMINISTE ' T'ES LESBIENNE ' TU VEUX PAS D'ENFANT ' JE PEUX TOUCHER TON VENTRE ' Au départ, il y avait cette question : pourquoi le fait que je ne veuille pas d'enfant pose-t-il un problème à tout le monde, sauf à moi ' J'ai trouvé la réponse : parce que je suis une femme en âge d'en avoir qui coche 100% des cases du bingo procréatif. Même 50 ans après la légalisation de la pilule et de l'avortement en France, être une femme, c'est être une mère : être nullipare, volontaire ou plus souvent, involontaire, c'est donc être reléguée en D2 de féminité.-

Le vécu des femmes qui n'ont pas d'enfant, accompagné de pistes de réflexion pour les femmes et les couples qui s'interrogent sur la place à donner ou non à la parentalité, qu'elle soit biologique ou adoptive. ©Electre 2018

Réflexion sur la question du désir de maternité ou de paternité. D'où vient-il ? Du plus profond de soi ? Est-il dicté par la pression sociale ? Car les femmes qui font le choix de n'avoir pas d'enfants sont mal vues, tant dans la sphère privée que professionnelle : préférences sexuelles mises en doute, suspicions de névroses... Bref, les rumeurs vont bon train. Témoignages de femmes et d'hommes.