Qu'est-ce que la République romaine ? Un modèle d'équilibre des pouvoirs entre le Sénat, les magistrats et le peuple ? Ou un faux-semblant de démocratie dans lequel quelques dizaines de familles manipulent à loisir des citoyens plus ou moins corrompus ? Au-delà des caricatures, les historiens tentent aujourd'hui de mesurer la place réelle du peuple dans la cité. Le débat est relancé