Le monde va devoir compter avec elle. Coachée par Lula, Dilma Rousseff est la favorite de la présidentielle.

La religion s'est invitée dans la campagne présidentielle. Pour mettre en doute la foi de Dilma Rousseff, la ″dauphine de Lula″. Et fragiliser sa candidature.

Contre vents et marées, Lula a choisi pour lui succéder une quasi-inconnue d'origine bulgare, peu charismatique de surcroît. A quelques jours de l'élection présidentielle du 3 octobre 2010, il est en passe de gagner son pari.

L'ancienne ministre de l'Environnement a décidé de faire campagne pour la présidentielle de 2010. Son parcours et sa personnalité en font une rivale sérieuse pour la candidate désignée par le président brésilien

Le jeune gouverneur du Minas Gerais grimpe dans les sondages réalisés en vue de la présidentielle d'octobre 2010. Il pourrait ainsi détrôner José Serra, le candidat naturel du PSDB, le principal parti d'opposition.

Elle n'a aucune chance de remporter l'élection présidentielle du 3 octobre 2010. Mais la candidate des verts provoque un engouement hors du commun chez les électeurs jeunes et branchés.

Le 3 octobre 2010, le Brésil élira une présidente, car il est presque certain que Dilma Rousseff, la dauphine de Lula, remportera la victoire au premier ou au second tour. Les huit années de pouvoir de Lula ont changé le pays, en favorisant les plus démunis. Cependant, rappelle la presse locale, beaucoup de questions demeurent en chantier, de la lutte contre la corruption à l'éducation.

Le report des 20 millions de voix obtenues par la candidate du Parti des Verts sera décisif au second tour. Les paris sont ouverts.

Candidat à la présidentielle d'octobre 2010, José Serra a réussi à unifier le Parti social-démocrate brésilien (PSDB, opposition) autour d'un projet politique cohérent. Et sa campagne démarre en fanfare.