Les chercheurs en ont la confirmation : l'alpha-synucléine peut adopter plusieurs formes menant à trois maladies neurodégénératives distinctes. Une découverte qui ouvre de nouvelles pistes de recherche pour mettre au point des méthodes diagnostiques précoces de ces affections, dont Parkinson.

Ces animaux minuscules fascinent les chercheurs par leur faculté à résister aux conditions extrêmes. Crashés sur la lune, tirés dans des balles de revolver, congelés, privés d'oxygène, bombardés de radiations, les oursons d'eau ont subi des dizaines d'expérimentations. Et si la clé de l'énigme résidait dans une mystérieuse protéine ?

L'outil d'intelligence artificielle de DeepMind a prédit la structure de presque toutes les protéines connues des scientifiques. Une avancée majeure.

Le biologiste Miroslav Radman lutte contre le vieillissement en rajeunissant nos protéines.

Briques élémentaires du vivant, les protéines assurent, selon leur structure, des fonctions essentielles. Pouvoir prédire la manière dont elles se replient et aussi en concevoir de nouvelles permettrait de nombreuses applications, notamment pour traiter cancers et maladies incurables. Une recherche en plein essor grâce à l’intelligence artificielle.

Une protéine remplit-elle une unique fonction biologique ? La spécialisation biochimique des enzymes l'a longtemps laissé croire, jusqu'à ce que des protéines du cristallin révèlent l'existence de nombreuses activités clandestines.

Une protéine naturelle du cerveau pourrait représenter un biomarqueur et un traitement de la dépression liée à l'âge, car elle favorise le « nettoyage » et l'apparition de nouveaux neurones.