De la psychologie sociale à la psychologie clinique, en passant par l'interculturel et la sociologie, ils ont étudié des conduites individuelles ou collectives qui visaient à résoudre ou à minimiser des problèmes d'identité.

Une réflexion sur le retour des faits religieux et spirituels dans les sociétés occidentales et sur leur potentiel émancipateur. L'auteur examine la fonction de la rationalité symbolique dans la formation de soi et l'individuation, ainsi que le concept de symbole. Il donne enfin des pistes pour que les sociétés prennent en compte les exigences de la structuration de la conscience.

Etude sur la norme d'internalité démontrant que la culture occidentale a tendance à privilégier les individus internes plutôt qu'externes. Dans la société libérale, les individus produisent en effet plus volontiers des explications causales internes de ce qui leur arrive, cette norme étant transmise par les institutions socioculturelles. Cette édition est enrichie de deux chapitres.

L'origine et l'identité de la psychologie sociale, la communication et ses cadres sociaux, ainsi que l'étude des interactions et des phénomènes collectifs sont abordés.

Présentation des théories, des approches et des recherches sur la psychologie sociale organisées autour de trois questions : comment nous faisons-nous une idée sur les gens ? sur le monde ? et comment réagissons-nous au monde, aux autres et à nous-mêmes ?

Les auteurs, philosophes et non-philosophes de sensibilités différentes expriment leurs convictions et témoignent de la façon dont ils pensent la conjoncture : l'insécurité a-t-elle des responsables, des théoriciens ? Est-elle un prétexte ? S'agit-il d'une question pratique ou d'un sentiment ? L'invention de l'insécurité dépend-elle de la philosophie ?

Mise au point par C. Rojzman, la thérapie sociale, approche transdisciplinaire entre psychologie et sociologie, permet de dépasser ses peurs et ses préjugés et de favoriser la vie en collectivité.