Un flash vert ponctue la fin du coucher du Soleil. La responsable ? L'atmosphère de la Terre, qui décompose et filtre la lumière solaire.

Au milieu du 19e siècle, des voyageurs revenant d'expéditions lointaines, décrivaient un phénomène étrange dans lequel les derniers rayons du Soleil, au moment de son coucher, prenaient subitement une ″brillante couleur émeraude″. Ces récits tombèrent dans l'oubli, jusqu'à ce que Jules Verne décide de faire du ″Rayon Vert″ le ressort principal d'un roman publié en 1882. Parmi les nombreux lecteurs passionnés par ce phénomène mystérieux, se trouvaient des physiciens, qui commencèrent à mener leur enquête.