Déjà condamné pour des attouchements sur mineurs, Philippe G. s'est reconverti dans l'aide aux enfants d'Asie du Sud. Il est mis en examen pour agressions sexuelles sur de jeunes garçons népalais, cambodgiens et indiens.

Migrants violentés, courses-poursuites avec la police, fusillades entre clans... le-parcours de ce multirécidiviste éclaire les sombres méthodes des filières kurdes.

Voilà cinq ans que #MeToo permet aux victimes de violences sexuelles de partager leurs récits. Si elles n'obtiennent pas toujours gain de cause face à la justice, certaines trouvent une forme de réparation dans les liens qu'elles nouent avec les autres victimes de leur agresseur. Celles qui découvrent ce statut de « covictime » voient leur vie basculer. Qu'il s'agisse d'affaires médiatisées - PPDA, Matzneff, Léo Grasset - ou pas, beaucoup racontent la naissance d'un prodigieux lien de sororité.

Entre 1994 et 2006, un violeur itinérant s'est attaqué à au moins 15 femmes. Dans les Hauts-de-Seine d'abord, à Châtenay-Malabry, puis dans le sud de la France. Un prédateur capable de revenir plusieurs fois dans la même résidence. Le pôle "cold cases" de Nanterre vient de reprendre les investigations.

Libéré dans le cadre du désengorgement des prisons françaises lié à la crise du coronavirus, Virgile M. est retourné à la Butte, la maison d'arrêt de Besançon, quelques semaines plus tard. Une histoire de grands crus, d'incendie et de détresse sociale.

La journaliste Alice Géraud revient sur l'affaire du « violeur de la Sambre ». Et les défaillances de l'enquête...