L'emploi du temps quotidien au palais de Versailles de Louis XIV.

Le plus grand des rois de France et le plus beau des châteaux : en 50 histoires, J. C. Petitfils, le grand spécialiste de Louis XIV, nous fait partager la vie du Roi-Soleil à Versailles. De la vie quotidienne, des décisions politiques à la vie de cour, on entre dans l'intimité de ce qui fut la période la plus brillante de l'histoire de France.

Pour tous ceux qui l'ont approchée, de près ou de loin, c'est une œuvre obsédante. Temple païen, lanterne magique posée sur un piton rocheux ? La villa Malaparte, à Capri, est d'abord et surtout un autoportrait de pierre.  Il faut se replonger dans la vie rocambolesque de Curzio Malaparte, cet « Architalien » né en 1898, pour percer le mystère de son aura. Fasciste de la première heure devenu antifasciste et placé sous surveillance par Mussolini, l'écrivain se muera, sur le tard, en admirateur de Mao Tsé-toung. L'auteur de  La Peau  et de  Kaputt  échappe à toute définition. Mystificateur né, aventurier impénitent, plus proche de Blaise Cendrars que de Louis-Ferdinand Céline, l'écrivain est resté à la fois ébloui et traumatisé par la guerre.Il a fait de sa maison un rempart contre la banalité. Construite entre 1938 et 1943, la villa Malaparte est un des vestiges les plus singuliers de l'architecture du XXe  siècle. D'inspiration rationaliste, courant en vogue sous le régime fasciste, elle s'est émancipée de son esquisse originelle pour devenir un monument surréaliste. Son toit-terrasse qui domine les rochers et son grand escalier pyramidal sont célèbres dans le monde entier. Jean-Luc Godard y a tourné  Le Mépris, avec Brigitte Bardot, en 1963. Fritz Lang a voulu y imaginer le retour d'Ulysse, sous la caméra de Godard. À Capri, on parle du rite de la montée des marches. Soigneusement restaurée et préservée par ses héritiers, la villa reste une œuvre mystérieuse, un mausolée dédié à l'insolence et l'insoumission.    D'une plume vive et sûre, Pierre de Gasquet nous invite dans le Capri littéraire du siècle dernier, et entrouvre la porte sur les mystères d'une villa légendaire et d'un écrivain rebelle, qui voulut bâtir « une maison à son image ».

Une évocation de l'univers de Marguerite Duras à travers trois lieux : l'appartement de la rue Saint-Benoît (loué depuis 1942 et où elle est décédée le 3 mars 1996), la maison de Neauphle-le-Château et l'appartement dans l'Hôtel des Roches noires à Trouville - puisqu'il ne reste de l'Indochine, lieu mythique, que quelques photos et le jeu subtil de la mémoire et de l'oubli.