Annoncée par le président pour mener à bien la réforme constitutionnelle, la voie référendaire pourrait céder la place à celle du congrès parlementaire.

Après le rejet des amendements constitutionnels par le Sénat, Mohamed Ould Abdelazlz décide de passer par la voie référendaire pour faire avaliser la réforme de la loi fondamentale.

Les réformes soumises à référendum sont adoptées. Une victoire pour le chef de l'État, au vu de la très large majorité de oui. Pour l'opposition aussi, qui brandit un taux de participation manifestement "gonflé".