Rodin
Article
Bulletin : Études 4239 - juin 2017
Titres recensés : "Les fantômes d'Ismaël", d'Arnaud Desplechin ; Centenaire Jean Rouch : le cinéma comme art du "potlatch" ; "L'amant d'un jour" de Philippe Garrel ; "Drôles d'oiseaux", d'Elise Girard ; "Rodin", Jacques Doillon ; "Une famille heureuse" de Nana Ekvtimishvili et Simon Gross ; "Churchill" de Jonathan Teplitzky ; "Le Vénérable W." de Barbet Schroeder ; "Creepy" de Kiyoshi Kurosawa.
Détails
Numéros de page :
8 p. / p. 107-114
Article
Auteurs
Azalbert, Nicolas Auteur du texte
Bulletin : Cahiers du cinéma 733 - mai 2017
Critique du film de Jacques Doillon "Rodin".
Article
Bulletin : Positif 675 - mai 2017
Pour la deuxième fois après "Germaine et Benjamin", réalisé pour la télévision mais sorti en salles dans sa version courte ("Du fond du coeur", 1994, sur Mme de Staël et Benjamin Constant ; de fait, le premier long métrage français tourné en numérique), Jacques Doillon s'attache à un couple de créateurs " historiques "... Mais il s'agit ici de sculpteurs et non d'écrivains, en l'occurrence du plus célèbre couple de sculpteurs de l'histoire : Auguste Rodin et Camille Claudel.
Détails
Numéros de page :
8 p. / p. 8-15
Article
Bulletin : Positif 675 - mai 2017
Pour la deuxième fois après "Germaine et Benjamin", réalisé pour la télévision mais sorti en salles dans sa version courte ("Du fond du coeur", 1994, sur Mme de Staël et Benjamin Constant ; de fait, le premier long métrage français tourné en numérique), Jacques Doillon s'attache à un couple de créateurs " historiques "... Mais il s'agit ici de sculpteurs et non d'écrivains, en l'occurrence du plus célèbre couple de sculpteurs de l'histoire : Auguste Rodin et Camille Claudel.
Détails
Numéros de page :
8 p. / p. 8-15
Article
Auteurs
Alion, Yves Auteur du texte
Bulletin : <>Avant-scène cinéma 643 - mai 2017
Date parution pério
2017-05-01
Jacques doillon est de toute évidence l'un de nos grand cinéaste, qui depuis près de cinquante ans nous livre plus ou moins régulièrement des films qui nous touchent autant qu'ils nous donnent à réfléchir. Adepte d'un cinéma de chambre, il n'a pas son pareil pour traquer la plus infime variation d'un sentiment, d'une émotion. Ses films nous sont chers, aussi nous avons souffert de constater qu'il lui était de plus en plus difficile de trouver des financements pour faire vivre son art, signant des films superbes, mais qui ne rencontraient pas toujours le public.
Article
Auteurs
Alion, Yves Auteur du texte
Bulletin : <>Avant-scène cinéma 643 - mai 2017
Date parution pério
2017-05-01
Jacques doillon est de toute évidence l'un de nos grand cinéaste, qui depuis près de cinquante ans nous livre plus ou moins régulièrement des films qui nous touchent autant qu'ils nous donnent à réfléchir. Adepte d'un cinéma de chambre, il n'a pas son pareil pour traquer la plus infime variation d'un sentiment, d'une émotion. Ses films nous sont chers, aussi nous avons souffert de constater qu'il lui était de plus en plus difficile de trouver des financements pour faire vivre son art, signant des films superbes, mais qui ne rencontraient pas toujours le public.
Article
Auteurs
Géniès, Bernard Auteur du texte
Bulletin : L'Obs 2741 - mai 2017
Date parution pério
2017-05-18
Dans le film de Jacques Doillon, Vincent Lindon incarne le sculpteur du "Baiser". Pour se glisser dans sa blouse, il a appris son métier. Rencontre au Musée Rodin.