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Rodin

Article

Titres recensés : "Les fantômes d'Ismaël", d'Arnaud Desplechin ; Centenaire Jean Rouch : le cinéma comme art du "potlatch" ; "L'amant d'un jour" de Philippe Garrel ; "Drôles d'oiseaux", d'Elise Girard ; "Rodin", Jacques Doillon ; "Une famille heureuse" de Nana Ekvtimishvili et Simon Gross ; "Churchill" de Jonathan Teplitzky ; "Le Vénérable W." de Barbet Schroeder ; "Creepy" de Kiyoshi Kurosawa.
Numéros de page :
8 p. / p. 107-114

Article

Auteurs
Azalbert, Nicolas Auteur du texte
Critique du film de Jacques Doillon "Rodin".
Numéros de page :
2 p. / p. 22-23

Article

Pour la deuxième fois après "Germaine et Benjamin", réalisé pour la télévision mais sorti en salles dans sa version courte ("Du fond du coeur", 1994, sur Mme de Staël et Benjamin Constant ; de fait, le premier long métrage français tourné en numérique), Jacques Doillon s'attache à un couple de créateurs " historiques "... Mais il s'agit ici de sculpteurs et non d'écrivains, en l'occurrence du plus célèbre couple de sculpteurs de l'histoire : Auguste Rodin et Camille Claudel.
Numéros de page :
8 p. / p. 8-15

Article

Pour la deuxième fois après "Germaine et Benjamin", réalisé pour la télévision mais sorti en salles dans sa version courte ("Du fond du coeur", 1994, sur Mme de Staël et Benjamin Constant ; de fait, le premier long métrage français tourné en numérique), Jacques Doillon s'attache à un couple de créateurs " historiques "... Mais il s'agit ici de sculpteurs et non d'écrivains, en l'occurrence du plus célèbre couple de sculpteurs de l'histoire : Auguste Rodin et Camille Claudel.
Numéros de page :
8 p. / p. 8-15

Article

Auteurs
Alion, Yves Auteur du texte
Date parution pério
2017-05-01
Jacques doillon est de toute évidence l'un de nos grand cinéaste, qui depuis près de cinquante ans nous livre plus ou moins régulièrement des films qui nous touchent autant qu'ils nous donnent à réfléchir. Adepte d'un cinéma de chambre, il n'a pas son pareil pour traquer la plus infime variation d'un sentiment, d'une émotion. Ses films nous sont chers, aussi nous avons souffert de constater qu'il lui était de plus en plus difficile de trouver des financements pour faire vivre son art, signant des films superbes, mais qui ne rencontraient pas toujours le public.
Numéros de page :
8 p. / p. 128-135

Article

Auteurs
Alion, Yves Auteur du texte
Date parution pério
2017-05-01
Jacques doillon est de toute évidence l'un de nos grand cinéaste, qui depuis près de cinquante ans nous livre plus ou moins régulièrement des films qui nous touchent autant qu'ils nous donnent à réfléchir. Adepte d'un cinéma de chambre, il n'a pas son pareil pour traquer la plus infime variation d'un sentiment, d'une émotion. Ses films nous sont chers, aussi nous avons souffert de constater qu'il lui était de plus en plus difficile de trouver des financements pour faire vivre son art, signant des films superbes, mais qui ne rencontraient pas toujours le public.
Numéros de page :
8 p. / p. 128-135

Article

Auteurs
Géniès, Bernard Auteur du texte
Date parution pério
2017-05-18
Dans le film de Jacques Doillon, Vincent Lindon incarne le sculpteur du "Baiser". Pour se glisser dans sa blouse, il a appris son métier. Rencontre au Musée Rodin.
Numéros de page :
3 p. / p. 86-88