Depuis la signature de l'accord nucléaire, les Etats-Unis ont versé à l'Iran des milliards de dollars, en espèces. Et cet argent alimente la guerre que mène Téhéran en Syrie, selon ce magazine américain.

L'offensive du régime syrien aura raison de la résistance rebelle de la deuxième ville du pays. Mais cette destruction criminelle ne réglera rien, bien au contraire, estime ce chroniqueur.

Erreurs et mauvais calculs... Les opposants, qui se présentaient en 2011 comme les seuls à pouvoir renverser Assad, ne sont plus que l'ombre d'eux-mêmes.

Pendant quatre ans, les témoignages venus du côté de la ville que tenait le régime sont restés lettre morte face au flot d'informations continu du camp adverse. Un médecin raconte.

Six ans de guerre. Des centaines de milliers de morts, des millions de réfugiés et tant de rêves brisés. La dictature se maintient et, comme l'explique "L'Orient-Le Jour", le président Assad réussit à passer pour la "moins mauvaise solution". Cela dans une conjoncture internationale où Donald Trump et les populistes de droite rejoignent les "anti-impérialistes" pour soutenir le régime syrien, se désole "Al-Jumhuriya". Une défaite lourde de conséquences qui, pour la presse arabe comme internationale, risque d'abord d'alimenter le terrorisme.

Devant des hamburgers et une crème glacée, la célèbre petite fille et sa mère parlent de son rôle dans la bataille géopolitique en Syrie.

La guerre, dit-on, est affaire d'hommes. Exceptionnellement, elles sont trois femmes à raconter ce qu'est vivre dans la guerre. Marion Quillard s'est invitée dans le monde de science-fiction des séparatistes ukrainiens. Adeline Chenon Ramlat a assisté au vernissage d'un artiste à Lattaquié, place forte de Bachar el-Assad. Fabienne Lips-Dumas a exploré à Belfast les douleurs invisibles d'un conflit de trente ans.