A l'heure où le jazz vocal tend vers l'art du minaudage, Virginie Teychené en incarne la musicalité, entre standard, scat et vocalese. La parution de son troisième album, ″Bright and Sweet″, est l'occasion d'un double portrait : le sien et celui de son contrebassiste, arrangeur et mari, Gérard Maurin.

Comment devient-on ″chanteuse de jazz″ en France en 2010, loin de la légitimité américaine ? Pour en savoir plus, ″Jazzmag″ a écouté et rencontré quatre jeunes chanteuses aussi originales que prometteuses : Virginie Teychené, Chloé Cailleton, Clotilde Rullaud et Monica Shaka.

Après trois albums consacrés principalement aux standards et à des compositions de grands noms du jazz, Virginie Teychené s'est découvert un nouveau terrain d'exploration, le répertoire français.