L'auteur australien, à l'affiche en ce moment du Théâtre de la Commune à Aubervilliers, connaît en France un succès enviable, grâce à certains fidèles qui ont su faire apprécier au public hexagonal ce dramaturge singulier.

L'auteur des "Vainqueurs" vient au Rond-Point avec six spectacles. C'est la "Grande Parade" d'un poète aux multiples facettes.

Saltimbanques et savants ne font pas partie du même monde. Le plus souvent ils s'ignorent. Le savant ne se laisse pas distraire de ses travaux par des frivolités.

Les spectacles-promenades sont à la mode. Longtemps délaissés par les artistes du spectacle vivant, les lieux naturels se prêtent pourtant admirablement aux représentations de spectacles d'un genre particulier qui renouent avec une tradition du théâtre en jardin, tout en inventant sans cesse de nouvelles formes réjouissantes.

L'ouverture de la saison 2006-2007 du théâtre privé a tout pour être un bon cru, et promet de réaliser cette équation parfaite entre de grands textes, de grands interprètes et une dimension populaire indispensable à la vie des salles non subventionnées.

Le théâtre est la face méconnue du grand cinéaste new-yorkais, auteur d'immenses chefs-d'oeuvre comme "Annie Hall" ou encore "Manhattan", "La Rose pourpre du Caire"... A redécouvrir avec le spectacle "Adultères", qui rassemble trois pièces en un acte au Théatre de l'Atelier.

Ce Québécois d'origine libanaise est l'un des écrivains de théâtre les plus entousiasmants d'aujourd'hui, dont on peut découvrir un nouveau texte, "Forêts", au Théâtre 71 de Malakoff et en tournée en France. Un auteur à découvrir.

Les résidences d'auteurs se multiplient depuis quelques années. Mais l'époque est peut-être moins propice au mécénat qu'aux tentatives de faire intervenir des écrivains à une échelle locale. Et peu à peu, les nouvelles résidences prennent acte des problèmes et des changements de notre société.

D'août 2006 à janvier 2008, une importante série de manifestations produits par la compagnie de François Berreur, Les Intempestifs, rend hommage à celui, trop tôt disparu, qui restera l'un des écrivains majeurs de la fin du XXe siècle.

Alors que la Maison Jean Vilar et la Ville d'Avignon célèbrent le 60e anniversaire du festival d'Avignon en y organisant une rencontre du 15 au 23 esptembre prochain, posons la question brutalement : que reste-t-il de Vilar, trente-six ans après sa disparition ?

Les réactions à la lettre de mission de Nicolas Sarkozy adressée à Christine Albanal, ministre de la culture, dont nous publions ici les extraits relatifs au théâtre, sont très vives.

Par nature, le spectacle vivant n'est pas immortel. Gestes, regards, lumières et costumes... C'est grâce à la photographie que tout cet éphémère a pu entrer dans la postérité. La Bibliothèque nationale de France expose les acteurs sur son site Richelieu.