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Travailleurs étrangers belges

Article

Date parution pério
2024-06-01
Lorsque le Belge Gustave de Molinari écrit, en 1861, dans une revue moscovite: "le surplus de nos capitaux et de notre travail pourrait être mis à profit, chez vous, de façon utile et avantageuse", ce n'est encore qu'un vœu mesuré d'un économiste libéral. Lorsqu'il veut convaincre son audience russe à Saint-Péterbourg, en 1865, de la nécessité de faire circuler librement la main d'œuvre par-dessus les frontières et d'unir, dans une entreprise, des ouvriers de différentes nationalités, il ne s'agit que d'un principe théorique.
Numéros de page :
8 p. / p. 32-39 : ill. en coul.