Instruments de mesure, centres d'alerte, simulations numériques... Dix ans après le tsunami meurtrier en Asie du Sud-Est, les moyens donnés aux autorités pour prévenir la population sont bien plus performants.

Après le tsunami meurtrier de 2004 dans l'océan Indien, l'Unesco avait promis la mise en place de systèmes d'alerte dans tous les océans du monde. Cinq ans plus tard, où en est-on ?

La mer recrache encore des morts, un mois après. Le 26 décembre 2004, une énorme vague a submergé les côtes de 11 pays bordant l'océan Indien. Bilan : plus de 160 000 morts, des milliers de disparus.

Après la vague meurtrière qui a balayé, en 2004, l'Asie du Sud-Est, qu'en est-il de la reconstruction et de la prévention ? Etat des lieux.

Reconstruire les zones détruites par le tsunami est un travail de titan. Mais grace aux aides, la vie et l'esprit reviennent. Au Sri Lanka et en Inde, deux ados témoignent.

Tragique paradoxe : le tsunami de décembre 2004, dans l'océan Indien, a apporté des informations grâce auxquelles les géophysiciens améliorent la modélisation et surtout la prévision de ces vagues monstrueuses.

Décembre 2004, des vagues géantes tuent des milliers de personnes. Pour que cela ne se reproduise pas, un système de surveillance vient d'être créé.

Les câbles en fibre optique qui traversent les océans pourraient servir de capteurs pour la détection des raz de marée en formation.