Les “izinkabi”, les tueurs à gages, font régner un climat de terreur dans la région du KwaZulu-Natal. Les assassinats commandités qu’ils exécutent se multiplient.

L’ancien sicaire de Pablo Escobar est devenu l’icône d’une nouvelle narco-série et fait un tabac sur YouTube, où il prétend vouloir éloigner les jeunes du crime organisé. Non sans alimenter la fascination pour son ancien mentor.

Avec "The Killer", sur Netjlix, David Fincher, l'auteur culte de "Seven" et "Fight Club", réalise un thriller adapté d'une BD française. Un tueur à gages, maître dans l'art de la dissimulation, se voit traqué à son tour. Entretien avec un cinéaste que la noirceur de l'âme n'effraie pas.

Un assassin professionnel voit sa routine bouleversée par une question métaphysique : pourquoi et pour qui tuer ? Une réflexion d'une grande radicalité sur la violence, le libre arbitre et la reprise en main de sa destinée.

Ils ont entre 16 et 18 ans, jamais plus de 25, un casier presque vierge, et sont recrutés par les trafiquants de stupéfiants sur les réseaux sociaux. L'enquête sur un phénomène qui sidère les autorités françaises se poursuit par l'interview de Nicolas Bessone. Le spécialiste de la criminalité organisée et procureur de Marseille déclare : "Ces jeunes sont à l'image de notre société".

Avec "The Killer", disponible sur Netflix, le réalisateur de "Fight Club" fait le portrait d'un tueur à gages et poursuit son étude du "mal absolu". Rencontre.

De jeunes Suédois payés pour tuer sillonnent Copenhague. Au point que des membres de gangs danois quittent la ville pour se mettre au vert, que des innocents craignent pour leur vie et que des jeunes en viennent à se réjouir de la présence des policiers.