Pendant longtemps, Ismail Kadaré a été la seule voix entendue à l'extérieur de l'Albanie. Dans son oeuvre, il a constamment dénoncé le régime totalitaire qu'a connu le pays et s'est toujours battu pour y promouvoir la démocratie et la liberté. Denis Fernàndez Recatalà est l'auteur de fictions, d'essais et de scénarios

Union soviétique depuis la révolution bolchevique, la Russie devient un lieu de pèlerinage ou de contre-pèlerinage pour les militants français comme pour les élites politiques et culturelles. Des témoignages (lettres, récits, etc.) de voyages organisés auxquels participent des tranches de population non bourgeoises des années 20 et 30 permettent de dire comment et pourquoi cela s'est produit.

Biographie croisée de deux des plus grands dirigeants du XXe siècle. Au-delà des deux personnages, l'auteur jette un regard neuf sur la guerre des Boers, la Révolution russe, la grande famine qui frappa l'Ukraine et les deux conflits mondiaux.

L'auteur a été ambassadeur de France à Moscou à trois reprises. Il a tenu sur le vif un journal qui retrace ses séjours sous des présidences différentes (René Coty, Charles de Gaulle et Valéry Giscard d'Estaing). Il ressort de ce texte un amour très fort de la Russie qui n'a d'égal que la haine que le diplomate éprouve pour le communisme.

S'appuyant sur la diplomatie, les institutions et les sensibilités spirituelles, l'auteure met en avant trois périodes distinctes pour analyser les relations entre la Russie et l'Eglise catholique : 1905-1916, 1917-1929, 1929-1939. Avec une version en ligne des nombreux documents cités dans le texte. ©Electre 2016

La Seconde Guerre mondiale et ses prémisses racontés par l'ambassadeur de l'Union soviétique à Londres. Il offre un témoignage des relations anglo-soviétiques durant cette période. ©Electre 2017

« On n'a pas fini d'interpréter mon voyage à Baden-Baden !... », a dit de Gaulle, peu de temps avant sa mort au colonel d'Escrienne, son dernier aide de camp. Pourquoi le chef de l'État a-t-il choisi de partir en secret pour l'étranger, le 29 mai 1968, provoquant la panique dans son entourage, et au risque de se voir accusé par certains d'avoir fui ? De Gaulle ayant affirmé publiquement avoir envisagé « toutes les éventualités sans exception » (le retrait du pouvoir, l'exil, la résistance, la création d'une nouvelle France Libre), cet événement a donné lieu à une série d'hypothèses toutes légitimes, car toutes fondées sur des propos successifs du chef de l'État adaptés à chaque interlocuteur pour obtenir le brouillage maximal d'une opération relevant, en réalité, de sa diplomatie secrète.^

Etude sur la politique russe du général de Gaulle depuis la Seconde Guerre mondiale. L'auteure analyse l'évolution de sa position selon ses interlocuteurs russes, la conjoncture internationale et les fonctions qu'il occupait, de la clandestinité à la présidence de la République. ©Electre 2018